A l’initiative de «Du côté de chez Ma’» chez qui vous pouvez retrouver les liens des participants.
Je suis allée à la pêche dans mes archives, rechercher cette photo d’un Tag pris à La Rochelle en 2012. Je l’avais déjà posté sur mon ancien blog, mais tant pis, elle correspond tellement bien au thème de Ma, que je n’ai pas résisté à la facilité !
Le principe est simple, une photo sans un mot
Sur une proposition d’Isabelle chez qui vous retrouverez les liens de tous les participants
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Je dois avouer que jusqu’à ce matin, je ne savais pas comment traiter le sujet du jour. Sans doute que le mot « génération » associé à « au fil » devait poser un problème à mon cerveau. Ce qui touche à la famille peut parfois faire remonter des conflits pas toujours résolus. Mais comme je ne suis pas du genre à baisser les bras, j’ai trouvé et choisi la photo de mariage de mes parents.
Au fil du temps, nombreux sont ceux qui ne sont plus. Encore cette semaine, c’est l’un de mes cousins qui a pris la poudre d’escampette ! Mes parents ne sont plus de ce monde depuis déjà quelques années, ainsi que mon oncle Bernard et sa femme Marie mais aussi Alfred, Teckla, Jean… Mais je ne vais pas vous faire la liste des disparus de cette photo.
Au décès de mon père, j’ai récupéré un tas de photos de ces générations perdues, et je les transmets à qui en veut bien par le biais du numérique…
Et donc, pour le mois d’octobre, il s’agit donc d’évoquer 10 animaux !
Ce que je vais faire…. En puisant dans mon stock de photos !
Vous trouverez ceux qui ont relevé ce défi sur le blog de Passiflore
Je vous la fait en remontant le temps.
En preums, Je vous présente la dernière mante religieuse aux couleurs d’automne que j’ai failli prendre à pleine main en taillant mon photinia la semaine dernière…
En deuxième, voici une magnifique Épeire fasciée toute de jaune et noire vêtue ! Derrière un appareil photo, je les trouve magnifiques !
Ceux et celles qui me suivent savent peut-être que j’ai un faible pour les chevrettes et les renards, que vous trouverez juste là, en trois et quatre !
En cinq, on ferait presque un tour dans la préhistoire en croisant dans un arbre ce gros lézard vert ou lacerta bilineata. Celui-ci faisait pas loin de 30 cm !
En six, un lucane émergeant des herbes… là aussi, il était géant !
En sept, un machaon en plein repas !
En huit et neuf, Newton et sa meilleure pote, Zoé !
En dix, Capsule, un amour de chat qui à l’occasion, se prendrait presque pour un chien quand il nous accompagne en balade !
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Je vous le fait en toute simplicité…
Une feuille jaunie au sol et ses quelques gouttes de pluie…
Le principe est simple, une photo sans un mot.
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Une fois de plus, il m’a fallu puiser dans ma mémoire, puis dans mes archives. Et je me suis souvenue de cette rencontre étrange en novembre 2016, au détour d’une balade dans un parc près de Bercy, avec ces 21 enfants de bronze, réalisés à partir d’empreintes de rue (bitumes fracturés, plaques d’égouts, pavés…).
Rachid Khimoune, leur créateur, a voulu symboliser à l’entrée du XXI ème siècle, le respect des droits de l’enfant.
Comme il l’explique dans l’ouvrage qui lui est consacré, “tous les bitumes se ressemblent, pourtant les plaques d’égouts et les grilles d’arbres se distinguent d’une ville à l’autre comme un tatouage sur la peau.” “Ces signes révèlent même l’identité de la ville… J’aurais moulé les mots : Eau – Assainissement – Gaz – Électricité dans toutes les langues du monde ».
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Quand il pleut, ils sont instantanément de sortie ! Je veux parler des escargots et ceux du village perdu, sont forcément de Bourgogne !
En voilà un magnifique spécimen !
Mon soucis, c’est que lorsque je sors Newton pour son pipi de nuit, il me faut être très, très, mais vraiment très vigilante pour ne pas les entendre craquer sous mes pieds… Tout la smala est de sortie, la nurserie y compris !
Alors c’est à la frontale que je scrute minutieusement le sol, en bas des escaliers, sinon, c’est l’hécatombe assurée !
Le principe est simple, une photo sans un mot.
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Ces personnes sont des inconnues pour moi, et j’espère qu’elles se portent bien aujourd’hui, la photo datant de 2015.
J’espère également qu’elle ne m’en voudront pas d’avoir immortalisé leur image le temps d’un cliché. Mais pour le thème proposé par Ma, elle l’illustre tellement bien !
Les Empreintes du temps... 